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jeudi 9 juin 2011


RSA : "Il y a des excédents. Où vont-ils ? "(Martin Hirsch)

FRANCE INFO - HIER, 09:27

Martin Hirsch, président de l’Agence du service civique et fondateur du Revenu de Solidarité Active (RSA), participera cet après-midi à la convention sur la "justice sociale" organisée par l’UMP. Il s’agit de corriger le tir après la polémique provoquée par les propos de Laurent Wauquiez. Jean-François Copé, le leader du parti, propose en effet un compromis entre solidarité et lutte contre l’assistanat : cinq heures de travail par semaine dans les collectivités locales et les structures d’insertion pour les bénéficiaires du RSA. Mais le père du RSA se méfie des "entourloupes".
"Je ne veut pas, en tant que créateur du RSA et défenseur des questions de lutte contre la pauvreté, que cet argent soit utilisé pour autre chose, par exemple pour alléger l’impôt de solidarité sur la fortune", explique-t-il.

mercredi 22 septembre 2010

Le rachat des bâtiments et des terrains de l’usine SIMMONS à Flaviac

L’essentiel de ma réflexion apportée à la réunion du conseil communautaire du mercredi 8 septembre 2010

Le conseil communautaire du 8 septembre avait à son ordre du jour le rachat des bâtiments et des terrains de l’usine SIMMONS à Flaviac.
Un petit rappel de l’historique m’est apparu indispensable.
Mon intervention a insisté sur ce point pour bien mettre en évidence les responsables de la situation.

CAUVAL qui gère SIMMONS « restructure ses activités de literie. »
Tout le monde sait bien ce que cela veut dire : « délocalisation pour plus de profits financiers. » C’est classique !
Les salariés ? Des pions jetables à merci !
C’est clair : CAUVAL (Simmons) est seul responsable de la situation qui met 90 salariés à la rue.
C’est malheureusement une réponse très fréquente du patronat, réponse humainement inadmissible … mais légalement admise !
Devant l’intransigeance du patronat, le chantage à l’emploi fonctionne à plein !

Il faut sauver des emplois, quoi de plus évident.
Alors on se tourne vers les collectivités territoriales (Etat, Région, Communauté de Communes) qui sont de plus en plus sollicitées.
Mais, cette démarche a des limites, il ne sera pas possible de faire face à tous les mauvais coups de ce genre. D’autres entreprises du bassin risquent de se trouver dans la même situation. Que ferons-nous en tant que Communauté de commune ?
Il est quand même déplorable que nous soyons obligés d’éteindre l’incendie que les patrons d’entreprises allument copieusement et sans honte aucune !

Donc dans le « plan de sauvegarde de l’emploi » proposé, la Communauté de Communes rachète à la société CAUVAL les locaux et les terrains de la SIMMONS.
Ceux-ci seront ensuite mis à disposition, moyennant loyer, à la société ECOVAL-ENVIRONNEMENT filiale de CAUVAL.
Oui ? Il me semble qu’il y a là un paradoxe évident !!
Pourquoi la société CAUVAL n’a-t-elle pas cédé directement SIMMONS à sa filiale ECOVAL ?
En toute logique (la notre, pas celle du capital) ça paraît plus simple !
La réponse à cette question est venue du président : « L’entreprise a besoin de trésorerie pour financer cette nouvelle activité » ce n’est pas plus compliqué !!
Une fois encore, le chantage à l’emploi nous conduit à nous plier aux injonctions des chefs d’entreprises. C’est un désengagement total du privé dans sa fonction première de fournisseur d’emploi.
Alors, dans la situation d’aujourd’hui y-a-t-il d’autre issue pour le maintien de l’emploi ?

Mon soutien au projet d’achat des locaux SIMMONS par la Communauté de Communes est assorti de toutes ces réflexions.
Cette décision exige un suivi sérieux de l’argent public engagé afin que pas un euro ne soit perdu.

Roger ETIENNE

Elu communautaire de Privas

Maintien de l’activité de LEJABY au Teil

Fédération de l’Ardèche du P.C.F.
13 place Victor Hugo 07000 PRIVAS
BP 328
COMMUNIQUE DE PRESSE
Maintien de l’activité de LEJABY au Teil


L’annonce de la fermeture des ateliers de LEJABY dont celui du Teil est un nouvel exemple de délocalisation dont est victime l’Ardèche.
Une fois encore le patronat sacrifie les salariées pour satisfaire ses profits.

François JACQUART conseiller régional et les communistes ardéchois s’élèvent contre ces pratiques.
Ils demandent que l’on travaille au maintien du fonctionnement de l’entreprise dont l’activité est viable avec des résultats excédentaires.
En ce sens ils refusent la délocalisation destructrice pour l’emploi.
Nous partageons la colère des salariées de l’entreprise face à la perte de leur emploi et leur apportons notre soutien sans réserve.
Le groupe LEJABY doit prendre ses responsabilités. Pas de chantage à l’emploi il doit poursuivre le fonctionnement de toutes ses entreprises dont l’unité teilloise qui fait la démonstration de son bon fonctionnement.

De plus, au Conseil régional le groupe Front de gauche a obtenu l’adoption d’un vœu demandant au préfet de réunir une table ronde avec l’ensemble des acteurs concernés (direction, salariés, représentants du personnel, syndicats, Etat, collectivités territoriales, élus-e-s locaux et nationaux).

Pour la Fédération du P.C.F.
François JACQUART

jeudi 24 juin 2010

Les retraites

La défense des retarites doit passer par les défense des retraites des moins de 30 ans !

jeudi 3 juin 2010

Appel du collectif du bassin de privas de défense des retraites!

>> Jeudi 3 juin à 18 h à la Maison des Syndicats

Nous comptons sur votre présence et votre engagement !

Le collectif du bassin de Privas.

samedi 8 mai 2010

Désindustrialisation

La désindustrialisation se définit selon trois critères complémentaires qui ont chacun une portée et une signification particulière :

1. Le recul de la part de l'industrie dans la valeur ajoutée totale
2. Le recul de la part de l'industrie dans l'emploi total

      On comprend d'emblée toute la difficulté à manier des ceux concepts dans le débat public : la part de l'industrie dans l'emploi (critère 2) peut baisser, sans que l'emploi industriel recule, si l'emploi total progresse (cf. figure 1 en annexe). La part de l'industrie dans l'emploi peut baisser, mais non la part de l'industrie dans la richesse créée (critère 1), si les gains de productivité y sont plus rapides que dans les services. Enfin l'employé d'une société de nettoyage occupé dans un atelier industriel se demandera à bon droit s'il travaille dans l'industrie ou dans les services.

3. L'existence d'un déficit commercial industriel structurel

      Ce troisième critère signifie que la taille de l'outil industriel est moins importante qu'elle ne pourrait être (avec les emplois correspondants) du fait que l'offre de produits industriels n'est pas adaptée à la demande nationale, en qualité, en variété, ou en prix. Cette situation accentue le phénomène structurel (et naturel) de la désindustrialisation. Il peut être tempéré par une politique macroéconomique visant à une meilleure compétitivité (structurelle et en termes de prix)...suite>>

Désindustrialisation, délocalisations


Désindustrialisation, délocalisations

FONTAGNE Lionel LORENZI Jean-Hervé 
FRANCE. Conseil d'analyse économique

Paris ; La Documentation française 
( Les Rapports du Conseil d'analyse économique , n° 55 )
Face à la mondialisation des relations économiques, le thème de la désindustrialisation et de la délocalisation s'impose, en France comme ailleurs. Le rapport fait un état des lieux du recul relatif de l'emploi dans les pays industrialisés à partir de 1960, remarquant que les volumes d'activité et d'emploi impliqués dans les délocalisations restent modérés en France, n'étant pas toujours dûs à des coûts salariaux importants, mais plutôt tributaires de la proximité des marchés et de l'optimisation de la chaîne de travail. Il estime qu'une minorité de restructurations se traduit par des délocalisations et que des investissements à l'étranger ne sont pas assimilables à des délocalisations. Il propose de concevoir et mettre en oeuvre une stratégie industrielle, notamment en permettant aux PME de profiter davantage des commandes publiques et de l'épargne de proximité, concrétisant des projets de pôles de compétitivité, déterminant des secteurs d'activité prioritaires au niveau européen, etc. Face à des défis qui touchent l'ensemble des secteurs productifs (pas seulement l'industrie), le rapport estime que l'enjeu est de faire prévaloir des scénarii de "sortie par le haut" - ce qui n'exclut pas des destructions d'emplois face à la concurrence des grands pays émergents - en créant des emplois grâce à l'innovation et à la recherche-développement (R&D) et en améliorant les qualifications. Des commentaires et des compléments d'étude complètent ce rapport.
( 622  Ko, PDF)

jeudi 6 mai 2010

Désindustrialisation par Alain Bocquet (Communiste) à l' Assemblée Nationale (vidéo)



Notre groupe des députés communistes et du parti de gauche a demandé ce débat, parce qu’il y a urgence pour notre industrie qui est dans l’œil du cyclone. Medef et gouvernement feignent de s’interroger sur l’avenir d’une France sans industrie. Où sont les responsables politiques et patronaux qui prônaient l’ère postindustrielle ?  suite

La désindustrialisation des territoires en question



le 04.05.2010 à 17:49Audrey Pelé

Un seul communiste,une femme, dans cette commission.

PASQUET Isabelle

Sénatrice des Bouches-du-Rhône (Provence-Alpes-Côte d'Azur)

Contact mail au Sénat.

Sur le blog de Martial Bourquin

...pour cela les expériences et propositions que vous pourriez me faire me seront très utiles.

La mission parlementaire commune d'information sur la désindustrialisation

Dans sa séance du mardi 4 mai 2010, le Sénat a désigné les membres de la mission commune d'information sur la désindustrialisation des territoires

jeudi 22 avril 2010

Bienvenue !



Nous avons voulu que ce moyen soit interactif afin de permettre à chacune et chacun de s'exprimer librement dans le respect et la convivialité.

Nous espérons que vous serez nombreux à le consulter car la vie d'un blog n'est faite que par ceux qui l'utilisent: contributions, réactions,etc.